CLARA DAHLIE
Chevelure sertie de chaînettes, œil charbonneux surligné au khôl, oreilles très ornées, mains et cou peints d’argent ; son portrait est ébahissant sur la couverture de Miracle des ombres, son premier microalbum. C’est que Clara Dahlie — le nom le suggérerait-il ? — est mue tant par les couleurs que par la musique, indissociables pour elle, fille d’artistes visuels. Onirisme R&B, audace pop, soul moderne ; tout s’entend et se voit lorsqu’elle est sur scène.
PASTEL BARBO
En termes auditifs, Pastel Barbo c’est l’équilibre entre la délicatesse de la dream pop et le chaos du psychédélisme. C’est dans la fragilité des voix de tête, les vibrations des guitares magnétiques, l’affolement de la section rythmique qu’on cerne l’identité du projet qui a cours dans la ville basse-haute avec un grand « Q ». Live, c’est la dualité entre sa quête de profondeur poétique et son désir de s’incarner avec un ludisme qui happe. Un paradoxe qui prend place par une identité visuelle qui joue à la frontière du normal et de l’étrange, confortablement déstabilisante.
Présenté dans le cadre de Coup de cœur francophone.
CLARA DAHLIE
Chevelure sertie de chaînettes, œil charbonneux surligné au khôl, oreilles très ornées, mains et cou peints d’argent ; son portrait est ébahissant sur la couverture de Miracle des ombres, son premier microalbum. C’est que Clara Dahlie — le nom le suggérerait-il ? — est mue tant par les couleurs que par la musique, indissociables pour elle, fille d’artistes visuels. Onirisme R&B, audace pop, soul moderne ; tout s’entend et se voit lorsqu’elle est sur scène.
PASTEL BARBO
En termes auditifs, Pastel Barbo c’est l’équilibre entre la délicatesse de la dream pop et le chaos du psychédélisme. C’est dans la fragilité des voix de tête, les vibrations des guitares magnétiques, l’affolement de la section rythmique qu’on cerne l’identité du projet qui a cours dans la ville basse-haute avec un grand « Q ». Live, c’est la dualité entre sa quête de profondeur poétique et son désir de s’incarner avec un ludisme qui happe. Un paradoxe qui prend place par une identité visuelle qui joue à la frontière du normal et de l’étrange, confortablement déstabilisante.
Présenté dans le cadre de Coup de cœur francophone.